Cette fois-ci je partais avec deux handicaps :
1\ je n'avais pas Sovan
2\ j'avais 10 kilos en moins pour les bagages
Etant parti avec 37.5kg la fois dernière, le moment est à la stratégie : que faire des 7.5kg supplémentaires? En chargeant comme une brute les deux sacs de cabine (qui ont à leur tour dépassé allégrement le poids maximum. Chacun). Malgré celà, au moment de l'enregistrement, c'est le drame : ma valise fait 31 kg au lieu des 30 obligatoires. Après un rappel à l'ordre ("Vous aviez droit à 30kg") et une minute de suspense, on m'autorise 40 kg ("-Oh bah finalement c'est 40" "-???") et me surclasse en classe business. Pense-bête : ne pas oublier cette technique.
| La classe business, c'est autre chose : des sièges 1.5 plus larges et 2 fois plus de place au niveau des pieds. On notera que le siège s'allonge en avant pour faire un "lit". A noter pour être frais au réveil : passer du lit à siège avec la ceinture bouclée qui se resserre au fur et à mesure que le siège se relève... La touche massage ne sert pas à grand chose par contre. On nous a même offert le champagne à cause du retard pris par l'avion(il y a eu du surbooking)...
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Comme la fois précédente, chacun à droit à son écran personnel pour pouvoir choisir son programme. Premier film : la famille Robinson, bien sympathique. Puis dodo. Au réveil, "The Bourne Affair". Alors là je tique un peu plus... J'ai eu beaucoup de mal à suivre le scénario, mais à priori, un gars qui court partout est poursuivi par un chef d'une quelconque organisation de type CIA qui cherche à descendre tout ce qui se trouve dans un périmètre de 10 mètres autour du héros. Pendant la première moitié du film, le héros s'en sort. Ensuite je ne sais pas, j'ai réussi à planter ma télé...
| Mon royaume pour un clavier
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Arrivé à l'aéroport, petite nouveauté : la prise des empreintes digitales et la photo. Le reste se passe plus facilement que la fois précédente : douane, bus et taxi s'enchaînent à la perfection.
Tsukuba, me revoilà.